Certainement, vous savez que l’alcool au volant est interdit, car c’est dangereux aussi bien pour soi que pour autrui. Pour renforcer la réglementation routière, les conducteurs doivent posséder un éthylotest dans leur véhicule. À côté, les forces de l’ordre contrôlent le taux d’alcoolémie systématiquement en cas d’infraction du Code de la route.
La démarche pour le contrôle de l’alcool au volant
Que ce soit une démarche en rapport à une opération de la gendarmerie ou de la police, à un accident routier ou à une infraction de la route, le contrôle de l’alcoolémie par les forces de l’ordre se passe toujours de la même façon. Premièrement, le conducteur doit donner aux gendarmes ou aux agents de police les documents obligatoires. D’après, cet avocat alcool volant Marseille, c’est important afin de confirmer l’identité du conducteur et des passagers ainsi que la validité du permis de conduire. Deuxièmement, les forces de l’ordre annoncent tous les nécessaires sur la procédure administrative concernant l’infraction commise. C’est à ce moment qu’elles procèdent à la vérification du taux d’alcool dans le sang.
Les moyens employés pour vérifier le taux d’alcoolémie
Généralement, les forces de l’ordre ont recours à un éthylotest pour connaître le taux d’alcoolémie des automobilistes. Mais elles peuvent également employer un dispositif homologué qui analyse l’air expiré. Si le résultat est positif avec le dépassement des limites établies par le Code de la route, il y a une deuxième vérification avec un éthylomètre ou par prise de sang en laboratoire. Pour cette dernière, il faut faire deux prélèvements afin d’établir un constat fiable de l’état d’ébriété. Pour information, la législation interdit le refus de se soumettre à un contrôle d’alcoolémie effectué par la gendarmerie ou la police. En cas de refus, qu’importe le dispositif employé, il y a un délit pénal puni de 2 ans d’emprisonnement et d’une amende de 4.500 euros.
Les sanctions relatives à l’alcool au volant
Suivant le taux d’alcoolémie constaté, plusieurs sanctions sont prévues par la réglementation routière française. Au cas où le taux d’alcoolémie est entre 0,5 g et 0,8 g par litre de sang, le conducteur est obligé de payer une amende forfaitaire pour les contraventions de 4ème classe. Le montant maximal est de 750 euros. Il y a aussi le retrait de 6 points sur le permis de conduire et la suspension de ce dernier. Si le taux d’alcoolémie dans le sang de l’automobiliste est de 0,8 g et plus, il risque une peine de prison de 2 ans et une grosse amende de 4.500 euros. Ajoutons à cela le retrait de 6 points sur le permis de conduire et l’immobilisation du véhicule.
Les effets de l’alcool sur la conduite
La législation est très stricte concernant l’alcool au volant, car c’est l’une des premières causes de mortalité routière, c’est en cause dans plus d’un tiers des accidents routiers mortels. Il ne faudrait pas oublier les effets négatifs de l’alcool sur la conduite. Notons une mauvaise perception de la vitesse, une mauvaise appréciation des distances, une mauvaise coordination des gestes, un état d’agressivité, un allongement du temps de réaction, une mauvaise appréhension du danger. Les effets de l’alcool sont encore plus importants si c’est associé avec des médicaments ou des stupéfiants.